Pièce de théâtre – Procella
Remise du prix des ados (Concours Coup de Théâtre à Paimpol)
Auteur : Tirischan Le Brulet
Procella, pièce de théâtre en un acte
Si vous êtes une compagnie amateure ou professionnelle et que vous souhaitez lire Procella, n'hésitez pas à utiliser la page contact ou à envoyer un mail à clairouobscur@protonmail.com.
L’histoire de Procella a commencé en 2019. Il s'agissait de Mouton Noir, une novella dystopique jamais publiée.
Deux années plus tard, elle s’est transformée en roman épistolaire, puis, insatisfaite du rythme, Christel Jeantheau a conservé le tiers final pour le remodeler en scènes.
Elle a effectué un choix décisif : offrir une lecture résolument féministe et queer d’une lutte universelle pour la liberté. Tous les personnages sont donc féminins, chacun portant une voix distincte : rage, amour, obstination, résignation, voire violence.
Sous le grondement persistant de l’orage, cinq femmes aux perspectives contradictoires se rencontrent dans le cœur du pouvoir : la pièce principale d’une maison isolée, perchée sur un coteau. Tous les prénoms ont une signification ; d'ailleurs, Procella signifie orage ou tempête en latin.
La pièce n’est ancrée dans aucune époque précise, mais elle parle clairement de la nôtre : la tentation du populisme, l’autoritarisme qui se dissimule derrière la sécurité, la surveillance omniprésente, la désinformation qui brouille la vérité, et la répression justifiée au nom du « bien commun ».
Procella puise dans deux grandes traditions. D’une part, la tragédie classique : Antigone de Sophocle et d’Anouilh. D’autre part, le théâtre de l’absurde et le drame politique contemporain, inspirés par Les Séquestrés d’Altona de Sartre, les camps de rééducation chinois, les tortures franquistes et les inquiétudes écologiques actuelles.
Ainsi, cette pièce de théâtre se situe à la croisée de la tragédie antique, du théâtre de l’absurde et du drame politique moderne.
Elle invite chacune et chacun à se poser trois questions essentielles :
Dois‑je agir quand je le peux, ou attendre que le devoir m’impose de le faire ?
Suis‑je victime de la désinformation ou acteurice conscient·e de la vérité ?
Quel prix suis‑je prêt·e à payer pour la liberté ?
Procella a touché le jury du Concours Coup de Théâtre à Paimpol, qui l'a récompensé avec le prix des adolescents. De jeunes comédiennes la joueront en juin 2027.
Ce prix n’est pas une finalité ; Christel Jeantheau souhaite que cette pièce de théâtre vive à travers une publication. Et, surtout, qu'elle soit jouée !
L’histoire de Procella a commencé en 2019. Il s'agissait de Mouton Noir, une novella dystopique jamais publiée.
Deux années plus tard, elle s’est transformée en roman épistolaire, puis, insatisfaite du rythme, Christel Jeantheau a conservé le tiers final pour le remodeler en scènes.
Elle a effectué un choix décisif : offrir une lecture résolument féministe et queer d’une lutte universelle pour la liberté. Tous les personnages sont donc féminins, chacun portant une voix distincte : rage, amour, obstination, résignation, voire violence.
Sous le grondement persistant de l’orage, cinq femmes aux perspectives contradictoires se rencontrent dans le cœur du pouvoir : la pièce principale d’une maison isolée, perchée sur un coteau. Tous les prénoms ont une signification ; d'ailleurs, Procella signifie orage ou tempête en latin.
La pièce n’est ancrée dans aucune époque précise, mais elle parle clairement de la nôtre : la tentation du populisme, l’autoritarisme qui se dissimule derrière la sécurité, la surveillance omniprésente, la désinformation qui brouille la vérité, et la répression justifiée au nom du « bien commun ».
Procella puise dans deux grandes traditions. D’une part, la tragédie classique : Antigone de Sophocle et d’Anouilh. D’autre part, le théâtre de l’absurde et le drame politique contemporain, inspirés par Les Séquestrés d’Altona de Sartre, les camps de rééducation chinois, les tortures franquistes et les inquiétudes écologiques actuelles.
Ainsi, cette pièce de théâtre se situe à la croisée de la tragédie antique, du théâtre de l’absurde et du drame politique moderne.
Elle invite chacune et chacun à se poser trois questions essentielles :
Dois‑je agir quand je le peux, ou attendre que le devoir m’impose de le faire ?
Suis‑je victime de la désinformation ou acteurice conscient·e de la vérité ?
Quel prix suis‑je prêt·e à payer pour la liberté ?
Procella a touché le jury du Concours Coup de Théâtre à Paimpol, qui l'a récompensé avec le prix des adolescents. De jeunes comédiennes la joueront en juin 2027.
Ce prix n’est pas une finalité ; Christel Jeantheau souhaite que cette pièce de théâtre vive à travers une publication. Et, surtout, qu'elle soit jouée !